mardi 18 janvier 2011

Le féminisme et l'étatisme: les vraies causes du décrochage scolaire chez les garçons

Le décrochage scolaire des garçons est un fléau pour notre société !
Lorsque les médias gauchistes parlent du décrochage scolaire, ils occultent souvent un aspect particulièrement grave, c'est-à-dire le décrochage chez les garçons. Ce phénomène a plusieurs causes, et j'ai choisi de partager le fruit de ma réflexion à ce sujet. Notez bien que ces causes ne sont jamais évoquées par les médias gauchistes, qui défendent ces valeurs et ces idéologies erronées.

Le féminisme

Le féminisme est doublement responsable du décrochage scolaire des garçons. En cherchant à augmenter le nombre de femmes diplômées, les hommes ont été délibérément mis de côté par le ministère de l'éducation. Cette politique de marginalisation des garçons a porté fruit : les enseignants au primaire et au secondaire sont maintenant presque exclusivement des femmes. Cette situation découle du fait que de moins en moins de garçons terminent leur secondaire et que, par conséquent, il y a moins d'hommes qui obtiennent un diplôme collégial et encore moins qui terminent leurs études universitaires.

On entre ici dans un second effet du féminisme : la féminisation de l'éducation au Québec. Cette tendance s'accélère et, à moins d'un changement salvateur, il n'y aura pratiquement plus d'hommes qui enseigneront dans notre système d'éducation. Cette féminisation de l'enseignement amène une féminisation des méthodes, faisant en sorte que les garçons échouent plus que les filles.

L'étatisme

Avant l'établissement d'un système d'éducation national, les choses allaient beaucoup mieux à ce sujet, les garçons et les filles étaient séparés, et avaient ainsi de meilleurs résultats. Mais bon, comme pour les gauchistes, tout ce que les religieux ont fait est mal, ils ont mis les garçons et les filles ensemble, avec les résultats que l'on connaît.

Il en a été de même de la méthode du « par cœur », qu'ils ont remplacé par des réformes ridicules qui ont saccagé notre système d'éducation. Il est inadmissible que l'on détruise ainsi l'avenir des générations futures par un tel aveuglement idéologique !

La bureaucratisation de notre système d'éducation est la cause d'un gaspillage immense d'argent. Le ministère de l'éducation, les commissions scolaires et les syndicats sont des structures bureaucratiques dont la plupart des membres ne travaillent pas du tout. Il est temps que le Québec se lève pour abolir ces structures inutiles que sont les commissions scolaires et les syndicats ! La débureaucratisation doit se faire dans le ministère de l'éducation, mais aussi dans les autres ministères !

La gauche et la culture de la paresse

Il ne faut pas innocenter les garçons: ils sont responsables de leur échec. Trop souvent, les gauchistes innocentent l'individu au nom de principes abstraits. Ainsi, un pédophile, un voleur ou un tueur n'est pas responsable de ses actes parce qu'il est une « victime » de la pauvreté ou de peu importe !

Je ne fais pas cette grave erreur qu'est la déresponsabilitation, mais la paresse des garçons s'explique par leur adhérence à des valeurs gauchistes, dont la « culture de la paresse ». La gauche ne valorise pas l'effort, et préfère montrer comme modèle aux jeunes des gens paresseux qui sont « célèbres » sans avoir fait quoi que ce soit pour le mériter. Ces faux idoles mènent notre jeunesse à la perdition en leur faisant croire que les plaisirs frivoles, l'immoralité et le vices sont un mode de vie acceptable. Les gauchistes et leur culture de la paresse sont directement responsables de l'échec scolaire des garçons.

Dire que nous avons supprimé un système d'éducation qui fonctionnait parfaitement et qui enseignait des bonnes valeurs aux jeunes. On voit bien que les gauchistes et les féministes ont, ici aussi, été aveuglés par leur idéologie et n'ont causé que des dégâts.

1 commentaire:

  1. C'est drôle de voir des néo-nazis/fachos/traditionnalistes hyper-conservateurs lutter pour le même but que des anarchistes, mais dans une optique totalement différente. Tu promouvoit la haine de la gauche et le libéralisme, je promouvoit la liberté et l'autogestion. Tu sais que tu est un anarcho-capitaliste (ou un anarcho-fasciste pour les intimes)

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